lundi 31 janvier 2011

Les journalistes ne sont pas des hommes comme les autres // lu dans la presse.

Trop subtil pour la gente masculine ce dictionnaire insolent ? Visiblement pas pour les journalistes, qui publient des chroniques sans rancune sur l’amical brûlot de Caromb et Savennières. De Trop subtil pour un homme, ils écrivent :

in Connaissance de la chasse / février 2011 / F.-X. Allonneau. [extrait] : « [...] Après lecture ( je vous conseille quelques mots à la fois afin de savourer les saillies), vous vous direz que décidément tout cela est très gaulois, mieux encore gauloise, et sans filtre qui plus est. Une idée de cadeau toute trouvée pour le 14 février prochain, jour de la saint-Valentin. » [L'article in extenso]

in Les petites affiches /décembre 2010 / B. Galimard Flavigny
[extrait]: « [...] Tous nos travers surgissent entre les définitions corrosives concoctées par ces duettistes qui ont la plume aussi acérée que leur langue. L’homme qui s’insinue dans ces pages sourit finement pensant reconnaître son voisin et davantage son meilleur ami, tandis que ce dernier croit apercevoir le premier. Quant aux femmes, elles jubilent. Enfin, deux de leurs sœurs ont le courage de dénoncer les avatars qu’elles subissent de la part de leur homme […] Précipitez-vous sur ce livre, lisez-le et offrez-le à la volée. » [L'article in extenso]

jeudi 20 janvier 2011

Une bouteille à les mères!

 
Caromb et Savennières dans Trop subtil pour un homme consignent :
Message Avec cette manie de lancer à la mer leurs bouteilles, s’étonner  que les femmes ne finissent pas plus souvent  alcooliques.
Une fois n’est pas coutume, cette fois ce sont les femmes qui ont jeté leur bouteille – bien pleine – à la mer.
Et à lire le Bloc-notes de Philippe Bouvard dans le Figaro magazine du 8 janvier 2011, il semble que Caromb et Savennières ont eu raison !
« Un livre qu’on fait paraître est une bouteille à la mer. En prenant le risque que personne ne la repêche. Dans le meilleur des cas, il n’est jamais certain que la bouteille, retrouvée et ouverte avant que le bouquin ait subi le supplice du pilon, suscite d’abord l’intérêt, ensuite l’acte d’achat, enfin le désir de lecture. Confirmation qu’il faut être un peu fou pour prendre la plume à l’intention d’autres contemporains que les membres de sa famille ».

mercredi 12 janvier 2011

Les bibiches s'amusent !

Chapeau de Momo
Richard Anthony a chanté « Biche oh ma biche / Lorsque tu soulignes / Au crayon noir tes jolis yeux ».
Avant lui Maurice Chevalier avait immortalisé le nouveau chapeau de Zozo. « C'est un chapeau, un papeau rigolo / Sur le devant, on a passé trois plumes de paon, Sur le côté, un amour de perroquet / Pour être original, il l'est, ça je vous le jure / Ça n'est pas le bibi, le bibi de n'importe qui / A le voir si beau, tout Paris répétera bientôt : / Avez-vous vu le chapeau de Zozo ? »
De jolis yeux ! Une main virtuose ! Trois plumes de paon ! Un amour de perroquet ! Mais aucun prénom !
Qui osera alors contredire Caromb et Savennières qui constatent :
Personnaliser C’est lorsqu’ils ne nous appellent plus chouchou, bibiche ou mon cœur et utilisent enfin notre prénom.
Surnom Antisèche du don juan surmené : bibiche, pupuce, mon chou, lapin.