mardi 7 décembre 2010

Ecrire pour respirer, fallait simplement y penser!


Roland Barthes affirmait:
« la littérature ne permet pas de marcher, mais elle permet de respirer »  
tandis que de son côté Julien Green s’écriait:
« écrire c'est une respiration ! »
Ce n’est pas Caromb et Savennières qui diront le contraire puisqu’on trouve au détour de leur dictionnaire :
Oxygène : Pourquoi se sentent-ils obliger de respirer le nôtre en plus du leur ?
Respiration : La respiration nocturne est sexuée : ils ronflent, on soupire.
Respirer : On respire la santé et l’intelligence ; ils respirent fort.

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